Les évènements

Pour 2025, nous vous souhaitons une année riche en échanges et étonnements pour la beauté qui nous entoure, en gardant confiance face aux défis rencontrés, en espérant contre vents et marées.
Nous vous exprimons notre gratitude pour le soutien que vous nous apportez en vous procurant nos ouvrages, en restant attachés à des ouvrages papier que vous pouvez lire avec vos cinq sens : voir, sentir, palper, entendre et goûter le plaisir de l’objet. Un immense merci pour votre confiance dans nos publications. Nous sommes honorés de vous compter parmi nos lecteurs.
Nous allons continuer à vous proposer des ouvrages en 2025, …… pour soutenir votre réflexion, nourrir votre curiosité, pour contribuer à votre développement professionnel et personnel.
Dans cette Newsletter nous mettons l’accent sur plusieurs ouvrages que nous vous proposons pour notre promotion de ce début d’année 2025.

• Principes de traitement psychothérapeutique en groupes, E. Berne
  ⇒ Tarif : 15 € au lieu de 20 €
  Après s’être posé plusieurs questions concernant lui-même et les patients, par exemple « Pourquoi ont-ils choisi la psychothérapie comme solution ? « En quoi cette heure va-t-elle contribuer à leur épanouissement ?», « Qu’est-ce qui leur fait penser que je peux faire plus pour eux qu’un homme d’église expérimenté ou qu’un chef scout ?, il se tourne vers ses patients :
  « Pendant que ces questions traversent l’esprit du thérapeute, il est possible que les patients commencent à s’agiter. Sa préoccupation l’a empêché de faire des interventions prématurées qui auraient pu les aider à masquer leurs angoisses. Alors, au moment où il tourne son attention vers les autres personnes dans la pièce, elles montrent déjà, sans plus tarder, des échantillons de leur comportement qui peuvent être significatifs et utiles. À ce niveau, quelques minutes après s’être assis, le thérapeute peut se donner à lui-même une réponse partielle à la question suivante : « Qu’est-ce qu’un thérapeute correctement formé a-t-il à proposer que d’autres leaders de groupes ne proposent pas : ses facultés particulières d’observation, son consentement à se laisser observer sans être atteint, et sa capacité à structurer le groupe pour les meilleurs résultats thérapeutiques possibles ». Sur la toile de fond de ses questions et réserves philosophiques, ses qualités cliniques apparaissent alors évidentes : l’observation, la tranquillité d’âme et l’initiative. Il se prépare à utiliser ces trois facultés interdépendantes et basées sur l’ensemble de sa formation et de son expérience clinique acquise antérieurement pour le plus grand bénéfice de ses patients. » Page 82
• Analyse transactionnelle : une perspective relationnelle, H. Hargaden et C. Sills
  ⇒ Tarif : 15 € au lieu de 20 €
  « L’un des traits les plus frappants des opérations thérapeutiques, c’est qu’on peut les utiliser de différentes façons et pour différentes raisons, en fonction de la phase du traitement, du but de l’intervention et par rapport au contrat. Berne mentionne que les six premières opérations concernent la décontamination de l’Adulte et le renforcement de ses frontières avant la déconfusion de l’état du moi Enfant. Il est certain que ces opérations constituent un excellent outil pour atteindre cet objectif. Cependant, nous considérons comme artificielle cette distinction entre déconfusion et décontamination. Le processus de déconfusion fait partie intégrante de l’alliance thérapeutique et commence donc dès le début de la thérapie. Dans notre expérience, les personnes qui viennent en thérapie sont souvent confuses et en régression interne. Si ces personnes sont confrontées à un usage non empathique des six premières opérations elles réagiront de deux façons possibles : soit elles arrêteront la thérapie assez rapidement parce qu’elles se sentiront submergées, attaquées et incomprises ; soit elles s’adapteront et fonctionneront selon les cadres de références et les préceptes du thérapeute. Si le client sent que le ton est empathique, il se sentira alors plus volontiers compris. » Page 67
• Psychothérapie Intégrative en pratique, R. Erskine et J. Moursund
  ⇒ Tarif : 15 € au lieu de 25 €
  « L’adjectif intégrative de Psychothérapie Intégrative revêt de multiples significations. Il se réfère en premier lieu au processus d’intégration de la personnalité : aidez le client à assimiler et harmoniser les contenus de ses états du moi, à assouplir ses mécanismes de défense, a laissé son scénario et à se réengager dans le monde dans un plein contact. Il s’agit là du processus consistant à faire un tout : prendre les aspects désappropriés non conscients et non résolus du Moi pour en faire les parties d’un Soi en cohésion. Grâce à l’intégration, il devient possible d’avoir le courage de faire face à chaque moment qui se présente, sur un mode ouvert et neuf, sans la protection d’une opinion, position, attitude ou attente préétablies.
  Intégrative renvoie également à l’intégration de la théorie, à la réunion des approches psychothérapeutiques affective, cognitive, comportementale, physiologique et systémique. Les concepts sont utilisés dans la perspective du développement humain, dans laquelle chaque phase de la vie présente des tâches développementales accrues, une sensibilisation à des besoins, des crises et des occasions propices à de nouveaux apprentissages. » Page 43 
• Langage symbolique des contes de fées et autres histoires, E. Alleysson
  ⇒ Tarif : 15 € au lieu de 23 €
  « Il n’est pas nécessaire que quelqu’un nous est lu des contes de fées pour les connaître : ils font partie de l’inconscient collectif, nous en avons une connaissance flottante. Et il est intéressant de temps en temps de les lire dans leur entièreté et dans des versions originales, afin de s’en remémorer la dynamique.
  Un conte de fées parle de la vie de chacun de nous, des étapes à franchir, des luttes à mener, des avancées à faire pour réaliser ses projets, des fixation dans notre enfance avec lesquels nous nous empêchons de faire un pas en avant et répétons inlassablement les mêmes choses. L’identification de notre conte préféré et de notre conte détesté, l’identification du personnage dans ce conte et de la séquence dont on garde souvenir tout en ayant oublié tout le reste de l’histoire, même jusqu’au titre du conte, nous donne des indications sur les épreuves que nous avons à traverser pour être Soi. Page 17
  La décision d’abandonner les enfants dans le Petit Poucet :
  […] « Pour faire face à cette disette, le père envisage une option et une seule : se débarrasser des bouches à nourrir. Sa manière de prendre une décision est élémentaire : face à une situation difficile, il est réactif en cherchant, sans analyse, l’action à mettre en œuvre. Le père ne cherche pas quel est le véritable problème qui permettrait une résolution durable de la situation. En analyse transactionnelle, une analyse des différents modes de méconnaissance lui serait d’une aide précieuse.
  Le père ne méconnaît pas la difficulté dans laquelle la famille se trouve, à savoir la famine. Il semble en reconnaître l’importance puisqu’il cherche une solution immédiate. Si on lui pose la question : « Est-ce que cette situation de famine est importante pour vous ? » Il répondrait « Bien sûr, c’est une telle famine que ma femme et moi on ne va pas arriver à nourrir neuf personnes, on va tous en mourir. » D’où la décision, qui paraît mathématiquement logique : en perdre sept pour en sauver deux, qu’il justifie ainsi : « Ces enfants sont incommodants car ils ne peuvent pas gagner leur vie ». Il reconnaît l’importance à un niveau de vie matériel sans démarche d’introspection qui pourrait apporter des sens différents et une solution différente. » Page 153
  

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